La Nausée
La Nausée
- Antoine Roquentin de la Nausée, vit à Bouville (le surnom pour le Havre), en France et qui maintient le journal. Pendant l'écriture, il observe le monde dont fonctionnement lui donne régulièrement la nausée.
- D'abord, il s'interroge sur la signification de la tenue du journal. Ensuite, il décrit son sentiment du dégoût qu'il appelle la Nausée. Il décrit sa vie quotidienne avec ses petits aventures, relations, il évoque parfois son ancienne maîtresse Anny, il note ses impressions et sentiments.Il se rend fréquemment à la bibliothèque où il rencontre l'Autodidacte et il tâche d'apprendre par cœur le dictionnaire. Cependant, il ne peut pas échapper qu sentiment du désespoir et d'impuissance. Il décrit la confusion du monde et la nausée et s'empare de lui de plus en plus souvent.
- Une fois pendant sa conversation avec l'Autodidacte, il réalise soudainement l'existence d'un couteau. Il est apparent, Roquentin le tient dans la main. Il commence d'examiner les les autres choses : une pierre, la racine d'un marronnier, il est surpris : il voit l'existence pure plutôt que l'essence de ce qu'il sont. Cette révélation l'amène à faire des réflexions sur le non-sens.
- Plus tard, Roquentin raconte son retrouvaille avec Anny. D'abord il est content de la revoir, mais puis leur rencontre se tourne dans une dispute qui ouvre les blessures du passé. Dans la chambre d'hôtel, en plus, Roquentin sent la Nausée l'envahir. Il dit à Anny qu'il ne sera pas capable de la revoir. Le lendemain il se rencontrent à la gare mais il ne s'adressent plus la parole.
- Les états de la nausée s'enchaînent : citons p.e. l'anecdote avec Madeleine, avec l'Autodidacte qui veut séduire un garçon... Toutes ces expériences l'amènent à une conclusion de se déménager à Paris et d'essayer de se libérer des états de la Nausée. Roquentin découvre qu'une des possibilités de se libérer est de se plonger dans l'art qui, dans un certaine sens, dépasse la vie humaine.